Plutôt que de continuer à pleurer sur les effets désastreux de la présence humaine sur notre planète et de s’enfermer dans un sentiment ‘très à la mode’ de défaitisme environnementaliste, l’Europe nous a invité à procéder, sur l’ensemble du territoire de notre continent, au recensement le plus exhaustif possible des sites permettant à la faune et à la flore de cohabiter harmonieusement avec l’activité humaine. Elle nous incite donc à considérer les éléments naturels qui nous permettent d’organiser un meilleur avenir pour notre biodiversité, au moins déjà à l’échelle de ce que d’aucuns qualifient de ‘vieille Europe’.
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