À présent que le gouvernement De Wever est formé, de nombreuses mesures de flexibilisation dommageables aux conditions de travail et à la santé des travailleur·euses ont été entérinées dans l’accord de gouvernement, confirmant toutes les craintes du mouvement social qui avait suivi les négociations. Si l’ensemble des travailleur·euses vont être impacté·es par ces mesures antisociales, les femmes et les personnes minorisées le seront bien davantage que les hommes. Une analyse genrée du programme gouvernemental nous semble dès lors essentielle pour faire ressortir l’aspect profondément inégalitaire de ce train de mesures touchant au temps de travail.
// Par July Robert, chargée d’études et d’analyses à PAC