
A l’occasion de la sortie de son dernier cahier d’éducation permanente « Les maux du numérique », le Mouvement Présence et Action Culturelles vous propose une série de rencontres pour poser des constats, les enjeux mais surtout pour imaginer des pistes de solution autour des fragilités numériques.
AU PROGRAMME :
🔷13h30 – Le projet 5G, spectacle court pour idées longues (par le Théâtre des Travaux et des Jours) + bord de scène
Assumant la forme d’une fausse conférence sur les nouvelles technologies dites de la 5ème génération, la pièce invite à la réflexion et au débat sur la façon dont les nouvelles technologies s’imposent dans nos vies. Le conférencier, qui vit pleinement jusqu’à l’absurdité les nouvelles symbioses rendues possibles avec les machines, se fait bientôt déborder par les réactions venant d’un public qu’on croyait sans voix…
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INFORMATIONS PRATIQUES :
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Ces évènements sont organisés avec le soutien de la Région Wallonne.

Cet atelier est complet. Une liste d’attente est ouverte via .
🔎Après avoir décrypté comment le langage façonne nos manières de penser, nous réfléchirons collectivement à créer de nouveaux discours émancipateurs dans le cadre d’un atelier joyeux et participatif.
💬Au cours d’une journée destinée à décrypter les stratégies de communication utilisées par les dominant·es, nous commencerons par analyser quelques points théoriques afin de nous outiller pour mieux comprendre comment se construisent les idées réactionnaires.
✏️Après la théorie, place à la mise en action ! Au travers d’animations et d’un atelier d’écriture ludique et réflexif, nous élaborerons des discours destinés à imposer notre vision progressiste et riposter.
👉Rejoins-nous pour penser des narratifs alternatifs.
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🔹Évènement gratuit
🔹Cet atelier est proposé par le Mouvement PAC et le Centre Librex, avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
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« Ne pas respecter la mort d’une personne par l’importance de la sépulture et du rituel, c’est ne pas respecter l’humanité et notre propre dignité »
Il est des morts qui font moins de bruit que d’autres. Des adieux discrets. Des histoires qui ne sont jamais racontées.
Souvent dans le silence et l’indifférence, plusieurs dizaines d’hommes et de femmes meurent chaque année des conséquences de la vie en rue.
Depuis plus de 20 ans, le Collectif Morts de la Rue agit pour un adieu digne pour les personnes sans-abri en organisant les funérailles pour chaque habitant·e de la rue dont il apprend le décès.
Une cérémonie annuelle se tient également à l’Hôtel de Ville de Bruxelles durant laquelle la mémoire de chaque défunt·e est célébrée par la lecture d’une litanie de poèmes que nous vous invitons à co-écrire lors de ces huit sessions d’ateliers que nous vous proposons. Ensemble, nous tisserons un récit collectif pour se souvenir de chacune de ces personnes.
Être sans chez soi n’est pas une fatalité mais un problème sociétal majeur, ancré depuis trop longtemps et qui fauche chaque année plusieurs dizaines de vie.
Une autre issue est possible, pour autant qu’on ait la volonté politique d’agir en ce sens !
Chaque rencontre sera une occasion de prendre la plume pour préserver les traces de ce que furent ces vies et de les célébrer à travers la puissance de l’écriture.
Nous vous invitons à partager vos mots, vos pensées, vos émotions dans un cadre où chacun·e se sentira respecté·e dans sa démarche.
Quel que soit votre horizon – proche de la personne décédée, poéte·sse ou allié·e de la cause – vous êtes les bienvenu·es.
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Programme des ateliers : Chaque atelier débute à 12h et se termine à 16h
Ces ateliers sont organisés par le Collectif « Morts de la Rue », Diogène et PAC avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Déconstruire le sport pour le rendre plus juste : étude et échanges autour des rapports de genre dans la pratique sportive
Le sport aime se dire porteur de valeurs universelles : justice, équité, respect.
Mais quand on regarde de plus près, derrière les discours d’universalité, se cachent encore de nombreuses inégalités de genre, de classe, de race ou de validité. Les corps sexisés, queer, gros, racisés, porteurs de handicap(s) y restent souvent invisibilisés ou exclus.
Comment ces valeurs se traduisent-elles réellement lorsque l’on observe les inégalités qui traversent sa pratique ? Quels obstacles rencontrent les personnes discriminées dans le sport, qu’il s’agisse de la pratique, de l’encadrement ou de la gouvernance ? Et comment repenser collectivement un sport réellement inclusif, affranchi des logiques de domination patriarcales et dominantes ?
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À l’occasion de la sortie de notre étude, nous vous invitons à une après-midi d’échanges et de réflexions collectives et participatives autour de ces enjeux.
Au programme :
💡 Une table ronde avec Bo Rainotte (poète punk et artiviste), Lola Mansour (ancienne judokate professionnelle, coordinatrice de la BBJJA et coach), ainsi que Pelphine et Marie-Amah (membres et fondatrices de l’asbl Fat Friendly), pour partager les constats et ouvrir les débats ;
☕ Un world café pour imaginer ensemble un sport réellement inclusif, accessible, et dénoué de logiques de domination.
Cet événement s’inscrit dans le cadre du projet « Lâchez-nous les baskets ! », dont naîtra fin 2026 un guide pratique pour tenter de transformer nos terrains de jeux en espaces plus égalitaires, accessibles et inclusifs.
Venez écouter, discuter, débattre, imaginer un sport plus juste, plus libre, et plus égalitaire.
Parce que repenser nos pratiques sportives, nos corps en mouvement, c’est aussi repenser notre société.
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Lâchez nous les baskets ! est un projet en partenariat avec Présence et Action Culturelles, Corps écrits et le Centre Librex
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commune de Saint-Gilles.
© Présence et Action Culturelles