Atelier d’écriture au Monty | Genappe

Quand :
7 janvier 2026 @ 19 h 00 – 21 h 00
2026-01-07T19:00:00+01:00
2026-01-07T21:00:00+01:00
Où :
Le Monty
Rue de Charleroi 58
1470 Genappe
Contact :
Christophe De Mos
0486 52 62 37

Et si vous donniez rendez-vous à votre envie d’écrire ? Nous serons là pour vous accueillir et vous inviter à mélanger les mots, à faire valser les phrases, à envoyer en l’air les textes ! L’atelier est animé par Mafalda, avec l’assistance de quelques complices 🙂
Au Monty, c’est le bouillonnement permanent ! Rejoignez-nous pour participer à cette dynamique culturelle, citoyenne et solidaire. Pas de prérequis. Vous pensiez que l’écriture ce n’était pas pour vous ? C’est sans doute l’occasion de mettre cette croyance à l’épreuve et de la faire mentir 🙂 Les thématiques et le cadre général seront établis collectivement avec l’ensemble des personnes présentes.

Pourquoi venir à un atelier d’écriture ? D’abord, peut-être, parce que l’écriture est réputée être, en général, une activité solitaire. Le fait de se rassembler à plusieurs, en un lieu donné, entre personnes désireuses de se frotter à leur envie d’écrire, permet de faire émerger des dynamiques de collaboration et des synergies créatives. Le collectif stimule l’écriture et le temps de communication (voir plan ci-dessous) autorise les participant·es à rendre immédiatement audible leur production.

L’atelier d’écriture vise la promotion de la démocratie culturelle, dont la production d’écrits est bien entendu l’une des finalités visées par l’activité elle-même. Pour autant, avec une importance équivalente, d’autres aspects sont constitutifs de ce dispositif : le rassemblement en collectif, l’écoute, l’émulation, la capacité de lire sa production afin de la partager immédiatement avec d’autres. Il s’agit de s’approprier un mode d’expression (l’écriture à visée littéraire) réputé élitiste, solitaire, réservé à des personnes dotées de dispositions spécifiques. L’atelier n’exclut pas les textes à portée introspective, le partage d’expérience, il n’en demeure pas moins que la démarche mobilise plutôt la capacité de chacun·e à jouer et se jouer des formes, le détournement, le jeu avec les registres du langage, de manière à désacraliser le statut bourgeois des notions d’écriture littéraire, d’œuvre et d’auteur. En terme de dynamique, l’atelier se veut participatif : les participant·e·s sont invité·e·s à proposer des consignes ou des thèmes. Le cadre même, établi collectivement, reste négociable et adaptable en fonction des départs et arrivées, de l’évolution même du groupe.