Mai 1987 : Maurice Béjart quitte la Monnaie. Juillet 1987 : il annonce, depuis Leningrad où il est en tournée, qu’il ne reviendra plus en Belgique mais qu’il ira s’installer à Lausanne où une fondation cigarettière lui déroule le tapis rouge. C’est le début d’un « mouvement de libération » où les chorégraphes belges, trop longtemps considérés comme quantité négligeable, se mobilisent pour obtenir une reconnaissance publique et institutionnelle.
Une analyse de Jean-Philippe Van Aelbrouck, Directeur général adjoint – Ministère de la Communauté française – Service général des Arts de la Scène