A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, ce 21 mars 2025, nous, citoyen·nes indigné·es par cette injustice et cette inhumanité, demandons instamment que l’on reconnaisse les droits de ces milliers de personnes privées de titre de séjour légal et de permis de travail.
Cela fait 16 ans qu’il n’y a plus eu d’opération de régularisation des personnes sans-papiers et l’on attend toujours une loi précisant des critères de régularisation clairs et transparents. Jusqu’aujourd’hui, les critères sont inexistants et les décisions de l’Office des étrangers sont basées sur son pouvoir discrétionnaire.