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PhilO : L’âge de l’empathie avec Frans de Waal

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PhilO Frans de Waal

Présence et Action Culturelles, en collaboration avec Philosophie Magazine, vous convie à une rencontre animée par MARTIN LEGROS, rédacteur en chef de Philosophie Magazine.

 

FRANS DE WAAL

L’AGE DE L’EMPATHIE
Leçons de la nature pour une société solidaire

 

Lundi 27 mai 2013 à 19h30

Facultés Universitaires Saint-Louis
Boulevard du Jardin Botanique 43 
1000 Bruxelles

  

 

TARIFS

Prix plein: 7€
Abonnés Philosophie Magazine
Etudiants et chômeurs : 5€
Article 27 : 1,25€

RÉSERVATION SOUHAITÉE
(nombre de places limité)
Maria Casale: 02/545 79 11 ou
   

 

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STOP à l’évasion, à la fraude et à la compétition fiscale !

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COMMUNIQUE DE PRESSE

STOP à l’évasion, à la fraude et à la compétition fiscale !

 

Le Réseau pour la Justice fiscale (RJF), qui lutte en Belgique depuis plus de 15 ans notamment pour lever  le secret bancaire fiscal, considère que les révélations de ce jeudi 4 avril concernant les comptes secrets offshore de dizaines de milliers de sociétés et de particuliers sont importantes. Contre ces pratiques scandaleuses, des mesures comme, par exemple, l’interdiction des paradis fiscaux dans l’Union Européenne, doivent être prises.

Comme l’OCDE, la Commission européenne et même  l’ONU, le RJF considère que les  paradis fiscaux (territoires à faible fiscalité, sans transparence vis-à-vis des autorités fiscales, accueillants pour les non-résidents et développant des législations fiscales particulièrement laxistes) sont des lieux de corruption et de concentration de la fraude fiscale. S’appuyant sur un réseau bancaire hyper-développé et des centres financiers «  offshore » (comme la City, notre voisin le Luxembourg ou le Delaware (USA)), plus de 72 pays ou territoires développent ainsi une grande densité de flux financiers et  de réseaux bancaires disproportionnés par rapport à leur PIB (et donc à l’activité économique réelle). Suivant les estimations, les paradis fiscaux abriteraient de 20.000 à 30.000 milliards $.

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« Publics de la culture – Savoir réinventer pour faire sens »

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Les 18 et 19 octobre 2011, Présence et Action Culturelles organisaient le colloque « Publics de la culture- Savoir réinventer pour faire sens » dans le cadre des Journées La Scène, notre partenaire à cette occasion. Aujourd’hui, les actes du colloque ainsi que les traces audiovisuelles sont disponibles sur le site de PAC www.pac-g.be En […]

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« Individualiste et de Gauche ? », rencontre débat avec Sophie Heine

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Vive la Gauche Sophie Heine

Dans le cadre du cycle « Vive la Gauche » Gilles Mahieu, Président, Yanic Samzun, secrétaire Général de Présence et Action Culturelles, en partenariat avec le Cercle du Libre examen de l’ULB, ont le plaisir de vous convier à une rencontre débat avec Sophie Heine   « Individualiste et de Gauche ? »   Mercredi […]

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Formation « Ecrivain-e public-que » en 2013

Le PAC propose une nouvelle formation d’écrivain public en 2013. Cette formation entièrement gratuite est précédée d’une séance d’information (participation indispensable) le lundi 8 avril à 14 heures dans les locaux de Namur Europe Wallonie, au Palais des Congrès, Place d’Armes 1, à 5000 Namur, Salle Québec. Les conditions à remplir pour participer sont, en […]

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Analyse #07 – Antoine Tshitungu Kongolo – « Tintin au Congo » sous l’angle du postcolonialisme

Categories : 2013, Analyses
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« Tintin au Congo » d’Hergé a défrayé la chronique en 2007 pour avoir été mis à l’index par une organisation britannique en raison prétendument de son racisme avéré. Dans la foulée, des voix se sont élevées, non sans opportunisme, pour réclamer l’interdiction d’imprimer et de diffuser cet album. En Belgique une requête fut déposée auprès des autorités judiciaires dans ce sens. Ce procès et ses péripéties se sont déroulés sur la toile de fond d’un pays, la Belgique, réticent à se reconnaître comme postcolonial, c’est-à-dire à s’assumer en tant qu’héritier d’une domination coloniale dont l’impact sur la scène de l’histoire et les résonances sur la sensibilité de sujets issus de l’ancienne colonie posent question et requièrent des réponses.

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Analyse #06 – Arnaud Zacharie – Néocolonialisme politico-économique : Des stigmates aux remises en cause

Categories : 2013, Analyses
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Les relations Nord-Sud ont reproduit depuis les indépendances des caractéristiques néocoloniales qui ont cherché à maintenir les pays en développement dans la périphérie de l’économie mondiale. Pourtant, depuis le début des années 2000, l’émergence de puissances régionales du Sud et l’évolution vers un monde multipolaire ont tendance à remettre en cause l’hégémonie des puissances occidentales et la hiérarchie traditionnelle de la division internationale du travail. Or si ces mutations ont tendance à altérer les relations néocoloniales du passé, elles ont également pour effet de provoquer de nouvelles formes de domination. C’est dans le cadre de l’exploitation coloniale que se développa un nouveau schéma géographique de la production et du commerce international. Alors que l’Europe s’industrialisait et devenait une puissance commerciale avide de produits tropicaux et de nouveaux débouchés, elle opéra une réorientation des structures économiques des sociétés qu’elle dominait militairement.

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Analyse #05 – Marc Sinnaeve – Pourquoi la culture du résultat mobilise les médias ?

Categories : 2013, Analyses
sinnaeve

« Ce que nous coûtent le Parlement fédéral et ses élus », titrait Le Vif/L’Express, le 15 février dernier. L’hébétude médiatique pour le comptable comme mesure de tout participe de l’approche gestionnaire et utilitariste de la « société globale de l’information ». Ceints de leur nouvelle armure technologique, les médias sont en première ligne d’une « mobilisation générale », selon le mot d’Isabelle Stengers. Mais les journalistes estafettes le savent-ils ? Il suffit de parcourir les pages de votre quotidien ou de votre magazine préféré pour y être confronté : les sujets qui transpirent le magnétisme exercé par l’argent ou l’accumulation financière en tant que sujets d’information bruts. À propos de Johnny Halliday : « La cash machine à pleins tubes » (le Vif/L’Express du 15 février 2013). En sport : « Ligue des Champions : Lille veut la poule aux œufs d’or » (20 minutes, 21 août 2012). Économie : « Protégez votre épargne » (le vif.be, 16 novembre 2012)…  Affleure, dans ces schémas récurrents de la présentation de l’information, une lecture proprement comptable ou utilitariste de la vie en société. En témoigne aussi le réflexe professionnel de faire du comment au détriment du pourquoi l’alpha et l’oméga des cadrages journalistiques : « Comment la négociation gouvernementale a échoué » ; « Dix mesures choc pour l’économie belge » ; « Le classement des cent meilleurs hôpitaux du pays »… Sans oublier l’omniprésent « Comment échapper au fisc ».  

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Analyse #04 – Sarah Demart – Présences congolaises à Bruxelles et postcolonialismes

Categories : 2013, Analyses
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Toute ancienne métropole ne peut échapper au rapport postcolonial. Quelles survivances ou déplacements de principes coloniaux ont pu se faire en Belgique ? Comment se jouent les rapports entre postcoloniaux et postcolonisés, Belges et Congolais ? Sarah Demart est socio-anthropologue spécialisée dans les études postcoloniales et les migrations congolaises (RDC), chargée de recherche au FNRS et membre du Centre d’Etudes de l’Ethnicite et des Migrations de l’ULg. Elle nous indique ici quelques éléments importants pour appréhender la dimension postcoloniale des rapports sociaux en Belgique. En quoi le passé colonial belge s’invite-t-il dans le présent ?

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Analyse #03 – Isabelle Stengers – Vers une pluralité des sciences

Categories : 2013, Analyses
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La science telle qu’elle est perçue et enseignée ne recherche-t-elle que compétition, concurrence, obligation de résultats pour atteindre l’excellence ? A notre époque, ce que l’on demande au chercheur est simplement s’il souhaite obtenir de l’argent avec lesdites recherches, cela fait partie de « l’économie de la connaissance ». C’est-à-dire qu’il doit déjà penser en termes de conséquences pour l’industrie, pour un impact « social » avant tout économique. Ce sont des contraintes auxquelles certains scientifiques s’adaptent mais qui pour d’autres sont profondément révoltantes et qu’ils voient malheureusement comme souvent le signe d’une société qui ne respecte pas sa science et comme une montée de l’irrationalité. Pourtant cette demande ne provient pas de la société, il s’agit d’une transformation politique qui appartient au néolibéralisme. De fait, cela crée une solidarité étroite entre science et économie avec tout ce que cela a d’inquiétant dans l’image actuelle de la science : les conflits d’intérêts.

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