
Activité gratuite, ouverte à toutes et à tous.
Inscriptions auprès de Christophe : 0486 52 62 37 –
En partenariat avec les Équipes populaires Brabant wallon
Pourquoi venir à un atelier d’écriture ? D’abord, peut-être, parce que l’écriture est réputée être, en général, une activité solitaire. Le fait de se rassembler à plusieurs, en un lieu donné, entre personnes désireuses de se frotter à leur envie d’écrire, permet de faire émerger des dynamiques de collaboration et des synergies créatives. Le collectif stimule l’écriture et le temps de communication (voir plan ci-dessous) autorise les participant·es à rendre immédiatement audible leur production.
L’atelier d’écriture vise la promotion de la démocratie culturelle, dont la production d’écrits est bien entendu l’une des finalités visées par l’activité elle-même. Pour autant, avec une importance équivalente, d’autres aspects sont constitutifs de ce dispositif : le rassemblement en collectif, l’écoute, l’émulation, la capacité de lire sa production afin de la partager immédiatement avec d’autres. Il s’agit de s’approprier un mode d’expression (l’écriture à visée littéraire) réputé élitiste, solitaire, réservé à des personnes dotées de dispositions spécifiques. L’atelier n’exclut pas les textes à portée introspective, le partage d’expérience, il n’en demeure pas moins que la démarche mobilise plutôt la capacité de chacun·e à jouer et se jouer des formes, le détournement, le jeu avec les registres du langage, de manière à désacraliser le statut bourgeois des notions d’écriture littéraire, d’œuvre et d’auteur. En terme de dynamique, l’atelier se veut participatif : les participant·e·s sont invité·e·s à proposer des consignes ou des thèmes. Le cadre même, établi collectivement, reste négociable et adaptable en fonction des départs et arrivées, de l’évolution même du groupe.
L’atelier d’écriture se déroule d’après le plan suivant, qui comprend 5 phases :
– Mise en contexte en fonction de la thématique
– Formulation d’une consigne (ou proposition d’écriture)
– Écriture (individuelle ou collective, selon le dispositif)
– Lecture à haute voix des textes par les participant·es, juste après leur rédaction
– Retours critiques, constructifs et bienveillants sur les productions par l’ensemble du groupe et l’intervenant·e
Dans l’ouvrage Les ateliers d’écriture, Premières rencontres nationales des ateliers d’écriture d’Aix-en-Provence Février 1993, Claire Boniface qualifie ainsi ces quatre étapes :
– Motivation. Une situation d’écriture (consignes, exercices, inducteurs…) donnée par un animateur
– Production. Un temps d’écriture des textes (ou écrits, productions)
– Communication. La lecture des textes (publication, communication, socialisation)
– Réaction. (retours, réactions, commentaires, corrections, résonances)
Pour l’inspiration, on pourra consulter les sites suivants :
• Qu’est-ce qu’un atelier d’écriture ? (sur le blog L’esprit livre, 15 novembre 2018)
• Écrire pas à pas grâce à des exercices d’ateliers d’écriture (sur le blog La plume de Laurence, 28 mai 2024)


Cycle d’arpentages – à la Maison du Développement Durable
Imaginons l’avenir !
Face aux crises écologiques, sociales et politiques, ce cycle d’arpentages propose un espace collectif pour imaginer des horizons désirables. À travers six séances de lecture partagée et d’échanges constructifs, nous explorerons des textes critiques et inspirants pour repenser ensemble les piliers de nos sociétés : politique, consommation, travail, économie, action collective… et notre rapport à l’avenir.
Parce qu’un autre monde est possible, imaginons-le ensemble!
Et si v
ous donniez rendez-vous à votre envie d’écrire ? Nous serons là pour vous accueillir et vous inviter à mélanger les mots, à faire valser les phrases, à envoyer en l’air les textes !
Pourquoi venir à un atelier d’écriture ? D’abord, peut-être, parce que l’écriture est réputée être, en général, une activité solitaire. Le fait de se rassembler à plusieurs, en un lieu donné, entre personnes désireuses de se frotter à leur envie d’écrire, permet de faire émerger des dynamiques de collaboration et des synergies créatives. Le collectif stimule l’écriture et le temps de communication (voir plan ci-dessous) autorise les participant·es à rendre immédiatement audible leur production.
Activité gratuite.
Pas de prérequis. Ouverte à tous et à toutes
Inscriptions par e-mail : ou au 0486 52 62 37
L’atelier d’écriture vise la promotion de la démocratie culturelle, dont la production d’écrits est bien entendu l’une des finalités visées par l’activité elle-même. Pour autant, avec une importance équivalente, d’autres aspects sont constitutifs de ce dispositif : le rassemblement en collectif, l’écoute, l’émulation, la capacité de lire sa production afin de la partager immédiatement avec d’autres. Il s’agit de s’approprier un mode d’expression (l’écriture à visée littéraire) réputé élitiste, solitaire, réservé à des personnes dotées de dispositions spécifiques. L’atelier n’exclut pas les textes à portée introspective, le partage d’expérience, il n’en demeure pas moins que la démarche mobilise plutôt la capacité de chacun·e à jouer et se jouer des formes, le détournement, le jeu avec les registres du langage, de manière à désacraliser le statut bourgeois des notions d’écriture littéraire, d’œuvre et d’auteur. En terme de dynamique, l’atelier se veut participatif : les participant·e·s sont invité·e·s à proposer des consignes ou des thèmes. Le cadre même, établi collectivement, reste négociable et adaptable en fonction des départs et arrivées, de l’évolution même du groupe.
L’atelier d’écriture se déroule d’après le plan suivant, qui comprend 5 phases :
– Mise en contexte en fonction de la thématique
– Formulation d’une consigne (ou proposition d’écriture)
– Écriture (individuelle ou collective, selon le dispositif)
– Lecture à haute voix des textes par les participant·es, juste après leur rédaction
– Retours critiques, constructifs et bienveillants sur les productions par l’ensemble du groupe et l’intervenant·e
Notre atelier d’écriture ne se veut ni une masterclass menée par un·e auteur·trice célèbre, propice à recevoir des conseils stylistiques et à augmenter ses performances littéraires, ni un atelier à visée thérapeutique, qui nécessite un cadre et un accompagnement appropriés.
Il s’agit ni plus ni moins de se faire plaisir, de s’amuser avec les mots en jouant avec et en se jouant de la langue, des registres de langage et des différents modes d’expression.
En partenariat avec les Équipes populaires Brabant wallon
Dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025
Les Écrivains Publics vous invitent à une double découverte : l’arpentage et le récit de vie.
L’arpentage est une méthode de lecture collective. Lors d’un temps déterminé, les participant·e·s se partagent le livre et chacun·e en lit une partie. Ensuite, les participant·e·s mettent en commun avec les autres membres du groupe le contenu de leur lecture, leurs appréciations, positives comme négatives, afin de construire une lecture critique.
Le témoignage de William a été recueilli par la méthodologie du récit de vie. Sans excuse ni justification, au fil des pages, apparaît la mesure du gâchis, celui enduré par la famille de la jeune victime, mais aussi celui de William pour qui l’enfance est une traversée tragique. Son récit est aussi la dénonciation du système de protection vis-à-vis de certains jeunes, qui n’a pas pris la mesure de la gravité de leurs conditions de vie.
Le livre sera fourni lors de l’activité.
Activité gratuite.
Pas de prérequis. Ouverte à tous et à toutes
Inscriptions par e-mail : ou au 0486 50 69 98
Un atelier d’écriture pour approfondir le sujet sera proposé le 18/11, également au Domaine des Possibles

Dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025
Venez participer à un atelier d’écriture à la Bouquinerie du Pub ! Crayon, pointe bic ou stylo plume, ou encore clavier… Nous serons là pour vous accueillir et vous inviter à mélanger les mots, à faire valser les phrases, à envoyer en l’air les textes. Ensemble… “partageons nos histoires” !
Au cours de cette séance, nous nous confronterons à la question de la privation de liberté, dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025. Une occasion de nous retrouver chaque année pour organiser des événements qui permettent d’une part de mettre en lumière les réalités du quotidien en prison et d’autre part de nourrir la réflexion autour de la prison et, plus largement, de la peine.
Bienvenue à tous et à toutes, pas de prérequis. Activité gratuite.
Inscriptions auprès de Christophe : 0486 52 62 37 –
Pourquoi venir à un atelier d’écriture ? D’abord, peut-être, parce que l’écriture est réputée être, en général, une activité solitaire. Le fait de se rassembler à plusieurs, en un lieu donné, entre personnes désireuses de se frotter à leur envie d’écrire, permet de faire émerger des dynamiques de collaboration et des synergies créatives. Le collectif stimule l’écriture et le temps de communication (voir plan ci-dessous) autorise les participant·es à rendre immédiatement audible leur production.
L’atelier d’écriture vise la promotion de la démocratie culturelle, dont la production d’écrits est bien entendu l’une des finalités visées par l’activité elle-même. Pour autant, avec une importance équivalente, d’autres aspects sont constitutifs de ce dispositif : le rassemblement en collectif, l’écoute, l’émulation, la capacité de lire sa production afin de la partager immédiatement avec d’autres. Il s’agit de s’approprier un mode d’expression (l’écriture à visée littéraire) réputé élitiste, solitaire, réservé à des personnes dotées de dispositions spécifiques. L’atelier n’exclut pas les textes à portée introspective, le partage d’expérience, il n’en demeure pas moins que la démarche mobilise plutôt la capacité de chacun·e à jouer et se jouer des formes, le détournement, le jeu avec les registres du langage, de manière à désacraliser le statut bourgeois des notions d’écriture littéraire, d’œuvre et d’auteur. En terme de dynamique, l’atelier se veut participatif : les participant·e·s sont invité·e·s à proposer des consignes ou des thèmes. Le cadre même, établi collectivement, reste négociable et adaptable en fonction des départs et arrivées, de l’évolution même du groupe.
L’atelier d’écriture se déroule d’après le plan suivant, qui comprend 5 phases :
– Mise en contexte en fonction de la thématique
– Formulation d’une consigne (ou proposition d’écriture)
– Écriture (individuelle ou collective, selon le dispositif)
– Lecture à haute voix des textes par les participant·es, juste après leur rédaction
– Retours critiques, constructifs et bienveillants sur les productions par l’ensemble du groupe et l’intervenant·e

Dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025
Rendez-vous à La Chaumière, tisseuse de liens, pour un nouvel arpentage, organisé dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025 !
« Comprendre comment s’est tissée notre dépendance au système pénal est un travail long et minutieux. Il faut détricoter de ce côté-là pour pouvoir, de l’autre, tisser ensemble féminisme et abolitionnisme pénal. Parce que féministe tant qu’il le faudra et abolitionniste tant qu’il y aura des prisons. »
Le livre : Pour elles toutes. Femmes contre la prison
L’ouvrage que nous partagerons vise à explorer les formes de protection que les femmes peuvent (ou non) attendre du système pénal en mettant en lumière les manières dont celui-ci affecte leur existence, qu’elles soient incarcérées ou qu’elles aient des proches en prison.
Le système pénal protège-t-il les femmes? Que fait-il aux femmes qui y sont confrontées? Faut-il promouvoir des réponses pénales aux violences contre les femmes? Cette activité sera l’occasion de nous faire notre propre opinion sur ces questions !
La méthode : l’arpentage
Une soirée pour faire du lien et échanger des opinions grâce à la méthode de l’arpentage, issue de l’éducation populaire. Lors d’un temps déterminé, les participant·e·s se partagent le livre et chacun·e en lit (silencieusement) une partie. Ensuite, les participant·e·s mettent en commun avec les autres membres du groupe le contenu de leur lecture, leurs appréciations, positives comme négatives, afin de construire une lecture critique.
L’autrice : Gwenola Ricordeau
Gwenola Ricordeau est professeure assistante en justice criminelle à la California State University, Chico. Ses recherches portent en particulier sur les proches des personnes incarcérées, la sexualité en prison et les formes de patrimonialisation et de mise en scène de la pénalité.
Le livre sera fourni lors de l’activité.
Activité gratuite. Ouverte à toutes et à tous.

Dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025
⚠️ Atelier déplacé exceptionnellement ce mois, du deuxième mardi (11 novembre = férié) au troisième mardi, le 18 novembre, même horaire
Bien que l’oral soit central dans nos interactions quotidiennes, nous avons peu d’occasions de nous exercer à « l’art de la parole ». C’est ce que nous vous proposons de faire lors de l’atelier Ose t’exprimer : écouter les points de vue divers pour s’en nourrir ; formuler son point de vue de manière construite et argumentée.
La question de départ de cet atelier sera : faut-il déconstruire la prison ? Cette séance s’inscrit dans le cycle d’activités programmées lors des Journées Nationales de la Prison 2025
En travaillant notre communication, nous prendrons conscience du pouvoir des mots sur nos manières de voir le monde. Nous apprendrons aussi à repérer les possibles manipulations dont nous pourrions être victimes en tant qu’auditeur·rices pour garder notre esprit critique à l’affût !
Nous commencerons par des exercices sur la forme de notre communication, notre non-verbal (ton de voix, gestuelle…); puis nous dialoguerons librement autour de divers sujets de société qui nous concernent tous et toutes.
Pas de conférence, pas d’experts, juste des citoyen∙nes ayant envie de s’exprimer et d’écouter les avis des autres. Le tout encadré par un∙e animateur∙rice qui sera en charge de faciliter la parole pour s’assurer que chacun∙e arrive à trouver sa place.
Info pratiques : Activité gratuite. Ouverte à tous et toutes, sans prérequis.
Inscriptions auprès de la Maison Ouverte Ose Aller : 0471 21 00 23 –

Dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025
⚠️ Atelier déplacé exceptionnellement ce mois, du deuxième mardi (11 novembre = férié) au troisième mardi, le 18 novembre, même horaire
Donner rendez-vous à votre envie d’écrire ? C’est possible ! Nous serons là pour vous accueillir et vous inviter à mélanger les mots, à faire valser les phrases, à envoyer en l’air les textes ! Rendez-vous au Domaine des Possibles pour explorer vos imaginaires, horizons désirables et autres possibles à faire naître sous votre plume…
Au cours de cette séance, nous nous confronterons à la question de la privation de liberté, dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025. Une occasion de nous retrouver chaque année pour organiser des événements qui permettent d’une part de mettre en lumière les réalités du quotidien en prison et d’autre part de nourrir la réflexion autour de la prison et, plus largement, de la peine.
Activité gratuite. Ouverte à toute et à tous
Inscriptions par e-mail ou au 0486 52 62 37
Pourquoi venir à un atelier d’écriture ? D’abord, peut-être, parce que l’écriture est réputée être, en général, une activité solitaire. Le fait de se rassembler à plusieurs, en un lieu donné, entre personnes désireuses de se frotter à leur envie d’écrire, permet de faire émerger des dynamiques de collaboration et des synergies créatives. Le collectif stimule l’écriture et le temps de communication autorise les participant·es à rendre immédiatement audible leur production.
L’atelier d’écriture vise la promotion de la démocratie culturelle, dont la production d’écrits est bien entendu l’une des finalités visées par l’activité elle-même. Pour autant, avec une importance équivalente, d’autres aspects sont constitutifs de ce dispositif : le rassemblement en collectif, l’écoute, l’émulation, la capacité de lire sa production afin de la partager immédiatement avec d’autres. Il s’agit de s’approprier un mode d’expression (l’écriture à visée littéraire) réputé élitiste, solitaire, réservé à des personnes dotées de dispositions spécifiques.
L’atelier n’exclut pas les textes à portée introspective, le partage d’expérience, il n’en demeure pas moins que la démarche mobilise plutôt la capacité de chacun·e à jouer et se jouer des formes, le détournement, le jeu avec les registres du langage, de manière à désacraliser le statut bourgeois des notions d’écriture littéraire, d’œuvre et d’auteur. En terme de dynamique, l’atelier se veut participatif : les participant·e·s sont invité·e·s à proposer des consignes ou des thèmes. Le cadre même, établi collectivement, reste négociable et adaptable en fonction des départs et arrivées, de l’évolution même du groupe.
L’atelier d’écriture se déroule d’après le plan suivant, qui comprend 5 phases :
– Mise en contexte en fonction de la thématique
– Formulation d’une consigne (ou proposition d’écriture)
– Écriture (individuelle ou collective, selon le dispositif)
– Lecture à haute voix des textes par les participant·es, juste après leur rédaction
– Retours critiques, constructifs et bienveillants sur les productions par l’ensemble du groupe et l’intervenant·e
Dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025
Quel plus bel endroit qu’une librairie pour lire ensemble ? Rendez-vous à la Librairie Claudine pour un nouvel arpentage, organisé dans le cadre des Journées Nationales de la Prison 2025 !
« Comprendre comment s’est tissée notre dépendance au système pénal est un travail long et minutieux. Il faut détricoter de ce côté-là pour pouvoir, de l’autre, tisser ensemble féminisme et abolitionnisme pénal. Parce que féministe tant qu’il le faudra et abolitionniste tant qu’il y aura des prisons. »
Le livre : Pour elles toutes. Femmes contre la prison
L’ouvrage que nous partagerons vise à explorer les formes de protection que les femmes peuvent (ou non) attendre du système pénal en mettant en lumière les manières dont celui-ci affecte leur existence, qu’elles soient incarcérées ou qu’elles aient des proches en prison.
Le système pénal protège-t-il les femmes? Que fait-il aux femmes qui y sont confrontées? Faut-il promouvoir des réponses pénales aux violences contre les femmes? Cette activité sera l’occasion de nous faire notre propre opinion sur ces questions !
La méthode : l’arpentage
Une soirée pour faire du lien et échanger des opinions grâce à la méthode de l’arpentage, issue de l’éducation populaire. Lors d’un temps déterminé, les participant·e·s se partagent le livre et chacun·e en lit (silencieusement) une partie. Ensuite, les participant·e·s mettent en commun avec les autres membres du groupe le contenu de leur lecture, leurs appréciations, positives comme négatives, afin de construire une lecture critique.
L’autrice : Gwenola Ricordeau
Gwenola Ricordeau est professeure assistante en justice criminelle à la California State University, Chico. Ses recherches portent en particulier sur les proches des personnes incarcérées, la sexualité en prison et les formes de patrimonialisation et de mise en scène de la pénalité.
Le livre sera fourni lors de l’activité.
En partenariat avec Financité
Inscription au 0486 50 69 98 ou par e-mail :
Activité gratuite. Ouverte à toutes et à tous.