« Vies en transit, du Parc Maximilien à la Jungle de Calais » est un outil de sensibilisation destiné à interroger les conditions de vie en transit des migrants notamment à Calais, au parc Maximilien et sur l’île de Lampedusa. Il s’agit plus largement d’un outil complémentaire aux débats questionnant les politiques d’accueil des migrants sur le sol européen.
L’exposition « Vies en transit, du parc Maximilien à la jungle de Calais », est disponible en deux formats, en version réduite de 30 photos ou complète avec 60 photos
Pour animer cette exposition, PAC propose deux animations. Un atelier d’écriture dans lequel les participants sont invités à questionner les images des campements représentées dans l’exposition et à produire collectivement un récit sur les conditions d’existence des migrants évoluant dans ces lieux de transit. Un débat mouvant est également proposé pour déconstruire collectivement les stéréotypes à l’égard de migrants.
Un dossier de présentation comprenant notamment les commentaires du photographe sur chaque photo ainsi que deux fiches d’animation est disponible sur demande.




Christian Fauconnier est né à Haine-Saint-Pierre, le 14 février 1954. Technicien en électromécanique de formation, il est aujourd’hui à la retraite et photographe. Il a suivi les cours de photographies des Arts et Métiers de La Louvière avec comme professeurs Alain Breyer et Véronique Vercheval. Dans « Vies en transit, du parc Maximilien à la jungle de Calais », tout comme dans son précédent travail sur les balayeurs de rues et les éboueurs, intitulé « Les arpenteurs de rues », il questionne la condition des personnes rendues invisibles dans notre espace public et qui évoluent aux marges de notre société.

